Adrien Favre
Samedi 5 novembre à 20h15 – à l’amphithéâtre
Conférence illustrée – Animation Stéphane Dugast – Tout public
Depuis 2015, Adrien Favre se consacre entièrement à la photographie animalière.
A la fois jeu de patience et d’excitation, le travail du photographe animalier est beaucoup fait d’attente et de rencontres magiques. Il faut savoir saisir l’instant, et pour cela savoir s’émerveiller de la plus infime des connivences avec l’animal.
Dans ses livres Carnet Sauvage et Le temps des forêts, il emmène le public à travers le monde, pour découvrir l’intimité d’un monde sauvage qui, sans cesse, recule face au développement humain. A travers ses photos, Adrien Favre cherche à témoigner de notre impact, et à faire un travail de mémoire.
Homme engagé, il souhaite alerter ses contemporains de la fragilité des écosystèmes qui abritent ces trésors du monde sauvage.
Adrien Favre
Lors d’un séjour en Inde pour une ONG, en janvier 2015, qui fut révélateur, Adrien décide de se consacrer à la photographie d’animaux sauvages.
Obsédé depuis son enfance par le temps qui passe, la photographie lui permet de figer tous ces instants passés auprès du sauvage. Comme un devoir de mémoire, ces milliers de photos entassées sur disque dur deviennent alors des souvenirs impérissables.
Véritable globe-trotter, l’Amérique du nord, l’Asie, l’Europe sont autant de destinations qui lui offrent la possibilité de découvrir d’autres cultures et les derniers endroits sauvages de la planète pour en rapporter des images toujours empreintes d’une sensibilité et d’une poésie qui lui sont propres. Photographe et réalisateur autodidacte, Adrien a à cœur de s’engager pour défendre le Vivant et soutenir différents projets dédiés à la protection de la faune sauvage.
Carnet Sauvage, Adrien Favre, 49€
Le temps des forêts, Adrien Favre, 49€
« Trouver un peu d’amour dans un monde qui en manque cruellement, s’affranchir des codes pour me déchiffrer, chercher l’osmose avec les éléments… Cette nature me fascine car c’est un équilibre parfait quand je suis incapable de trouver un juste milieu. Dans ces grands espaces, au contact de ces animaux sauvages, je ne suis pas chez moi mais chez eux. Je garde toujours en tête que ce sont nos routes qui traversent leurs territoires »