samedi 8 novembre – 11h00 – Maison de l’Afrique
samedi 8 novembre – 20h00 – Espace Vagabond
animation Christelle Capo-Chichi- public adulte
Dans son premier recueil de poésie, le jeune poète Nadjim Mchangama explore les blessures de l’enfance et la désillusion de devenir adulte. Passionné dès son plus jeune âge par la poésie, ancien étudiant en Lettres Modernes au CUFR de Dembéni, attiré par le monde des arts et des lettres, Nadjim Mchangama fait partie de la jeune génération de poètes novateurs du 101e département. Il est invité à revenir sur son parcours et réaliser une lecture de certains de ses poèmes en collaboration avec l’association Hetsika et la Maison de l’Afrique.
-La rencontre à la Maison de l’Afrique est en entrée libre dans la limite des places disponibles – La Maison de l’Afrique à Nantes, 1 rue Louis Préaubert – 02.40.31.30.07-

Nadjim Mchangama fait partie de la jeune génération de poètes novateurs. Son écriture frappe par les images, les fulgurances qui abondent dans ses poèmes sans qu’ils ne soient surchargés. Venu très jeune à la poésie, il a participé à des ateliers d’écriture notamment auprès du poète Raharimanana dans le cadre de ses études au Centre universitaire de Mayotte. Il publie ici son premier recueil de poésie.

Amère, éd° Project’Iles
Amère est une traversée de l’enfance brûlée par une lucidité lancinante sur le devenir adulte. Il y a là l’enfant sommé de grandir sans y avoir été préparé et qui se remémore une mère éreintée par le réel. Quelle langue pour fondre le métal de cette enfance qui enchaîne ? Nadjim Mchangama invente une forge dans laquelle il bat le fer rouge, à vif.