Ascension mystique

Samedi 11 novembre à 17h00 au Café Littéraire

animation Caroline de Benedetti – public adulte

Dans son premier roman saisissant, Simon Parcot explore l’attrait des montagnes sur l’Homme. Lui-même amateur d’alpinisme et de randonnées, il comprend et raconte avec brio les sentiments qui animent celles et ceux qui voudraient aller toujours plus haut malgré la dangerosité de la montagne. Une quête d’absolu qui transporte les amoureux des cimes.

Simon Parcot est professeur de philosophie et écrivain.
Jeune, il a beaucoup voyagé dans le Caucase, les Balkans ou l’Afrique du Nord. Il a expérimenté le désert : de feu d’abord, au Sahara, de glace ensuite, au Spitzberg.
Plus tard, il découvre le Brésil, la folie de l’Inde et la rudesse de l’Himalaya. Il usa aussi ses semelles sur les sentiers d’Europe de Compostelle à l’Oisans en passant par Stevenson.
Son premier roman Le bord du monde est vertical est une ode à la montagne, sa mystique et son attrait puissant.
Chez Glénat, il publie un nouveau texte qui retrace les pérégrinations alpines de Paul et de Simon, partis à la rencontre d’une quinzaine de guides de haute montagne pour essayer de croquer le portrait d’un métier pas comme les autres : Carnet de guides.

Le bord du monde est vertical, éd° Le Mot et le Reste

« On représente souvent la fin de la Terre comme un gouffre infini. Or ici c’est l’inverse : après le Reculoir, la fin du monde est verticale. Au-dessus du hameau-fantôme, la pente s’incline progressivement avant de se tendre violemment en direction des cieux pour former le Bord du monde, appelé parfois Montagne sans sommet ou plus simplement la Grande, c’est une interminable pyramide de pierre qui s’élève jusqu’à ce que que son supposé sommet se dilue dans l’espace. »